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Aragon… Notre Aragon… Mon Aragon… Trois expressions mimétiques de mes différentes rencontres avec cet homme. D’abord, un nom abstrait sans contenu, trois syllabes détachées dans les discussions passionnées de mon père, lors des repas de famille, comme un point d’exclamation, entre deux chansons fredonnées par mes sœurs après le dessert Lire la suite…

Mon « premier » poème d’Aragon C‘était au début des années cinquante. Plus d’un demi-siècle plus tard, il m’est parfois difficile de me rappeler avec exactitude la chronologie des faits. De toute façon, j’avais passé mon baccalauréat en 1950 ; la même année j’avais commencé mes études universitaires : philologie romane et Lire la suite…

Heureux celui qui meurt d’aimer Au début de la création -dit la légende- les êtres humains naissaient par couples inséparables au sens littéral du mot : l’Homme et la Femme venaient au monde soudés l’un à l’autre ; et ils restaient ainsi face à la mort et, même, au-delà de Lire la suite…

Un coup de foudre particulier Pour mon 22ème anniversaire, j’ai reçu de ma tante le tome XV de L’œuvre poétique complet d’Aragon. Elle savait que j’aimais la poésie et voulait me faire plaisir, d’autant plus j’écrivais des poèmes depuis plusieurs années… Avec intérêt, j’ai feuilleté cet imposant volume, lisant ça Lire la suite…

Ma première rencontre ? Aragon, je l’ai déjà dit à Alain Finkielkraut[[ Lors d’une émission « Répliques » de 1997, reprise dans Ce que peut la littérature, Stock 2006.]], est entré en moi par les oreilles. Un beau jour de 1961, l’année de mon bac philo, mon père qui achetait Lire la suite…

Bien sûr, il y a eu à l’adolescence la rencontre avec les mises en chanson de poèmes par Ferrat, Ferré, écoutés sur disque vinyle, parfois en boucle, jusqu’à tard dans le soir, cherchant de l’œil par la fenêtre l’étoile Hölderlin, l’étoile Verlaine. Somme toute, il aura fallu les disques à Lire la suite…