Thomas Stauder (dir.), L’identité féminine dans l’œuvre d’Elsa Triolet, Narr Verlag, 2010
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Présentation de l’éditeur :
Ce volume collectif, comprenant vingt et une contributions de six pays, analyse pour la première fois l’oeuvre de l’écrivaine française Elsa Triolet (1896-1970) en partant de la perspective des études féministes. Bien qu’elle fût en 1945 la première femme à obtenir le prestigieux Prix Goncourt, dans la perception publique elle resta longtemps dans l’ombre de son mari Louis Aragon, qui la célébrait dans de nombreux et fameux poèmes d’amour, la réduisant ainsi à un rôle plutôt traditionnel d’idole féminine. Mais la vie et l’oeuvre d’Elsa Triolet sont sans pareilles sous plusieurs aspects : non seulement pendant sa jeunesse à Moscou, mais aussi dans les années vingt à Paris, elle fut l’amie de quelques-uns des plus importants intellectuels et artistes de l’époque (elle entretint une relation très étroite avec le poète futuriste Maïakovski) ; ayant écrit ses premiers romans encore en russe, elle ne passa au français qu’au cours des années trente.
Avec des contributions de M. Biasiolo, E. Borghino, G.-P. Castellanou, G. Chovrelat-Péchoux, C. Davison-Pégon, M. Delranc Gaudric, A. Duranti, L. Efthymiou, M.-T. Eychart, Carolle Gagnon, D.-J. Lalo, S. Maire, C. Monteil, J.-P. Montier, E. Perry, A.-M. Reboul, G. Seybert, T. Stauder, A. Trouvé, M. Tuveri et M. Vallin.