Rapport moral 2011 par Corinne Grenouillet
SUR ELSA TRIOLET ET ARAGON, association loi 1901 Rapport moral pour l’année 2011 par Corinne Grenouillet présenté à Paris, le 21 janvier 2012
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L’année 2011 a été une année riche et féconde pour la recherche aragonienne et pour notre équipe, forte de ses 28 adhérents, nombre en progression constante depuis 2009 (puisque nous sommes passés de 15 adhérents en 2009 à 21 adhérents en 2010 puis à 28 adhérents en 2011) Elle a donné lieu à trois manifestations d’envergure :
– la première, le 22 janvier 2011, journée des « jeunes chercheurs » et de la jeune recherche, nous a permis d’entendre trois communications, de Marie-France Boireau (sur le sentiment du tragique dans les premiers romans du Monde réel), d’Aurore Peyroles sur Les Communistes, et d’Erwan Caulet sur la critique littéraire dans Les Lettres françaises. Nous avons été accueillis sur le site de la Belle Gabrielle, tout près du bois de Vincennes, appartenant à l’INALCO. Une quinzaine de personnes étaient présentes. Ces trois communications sont publiées dans le numéro 13 des Recherches croisées Aragon/Elsa Triolet.
– la deuxième, les vendredi 10 et samedi 11 juin, fut le colloque « Aragon et Les Lettres françaises » organisé par l’ÉRITA et l’ITEM et mis en œuvre principalement par Luc Vigier et Maryse Vassevière. Neuf d’entre nous ont participé à cette manifestation qui a été le temps fort de l’année 2011 et qui a bénéficié du soutien de l’ITEM, de l’EA 1337 « Configurations littéraires » de l’Université de Strasbourg, de l’EA 3962 « Centre d’études littéraires Jean Mourot » de l’Université de Nancy 2 et du Centre de recherches sur le surréalisme (Paris III). Nous avons été accueillis par le Centre de Recherche et de création Elsa Triolet/Louis Aragon à Saint-Arnoult-en-Yvelines. Une trentaine de personnes ont assisté au colloque dans ce cadre champêtre et agréable, bien qu’un peu frisquet pour la saison. Que Bernard Vasseur et l’équipe du Moulin soient ici chaleureusement remerciés pour leur aide matérielle.
– enfin la séance du 15 octobre à Paris nous a permis d’entendre deux communications, de Lionel Follet sur le livre qu’il édite cette année (Aragon, Lettres à André Breton, 1913-1931, chez Gallimard) et de Tatiana Victoroff (Université de Strasbourg) sur Hourra l’Oural. La salle 414 de Censier était comble : 23 personnes étaient présentes ce jour-là. Deux autres séances méritent d’être signalées
– la séance du 26 mars – qui était une séance s’inscrivant dans le cadre de l’ITEM, précédant notre dernière AG, rue d’Ulm, durant laquelle Luc Vigier nous a présenté son projet de travail sur les murs de l’appartement de la rue de Varenne.
– la rencontre chez Georges Aillaud le 9 juin : celui-ci nous fit découvrir et profiter des trésors de sa bibliothèque aragonienne et triolettienne personnelle, d’une richesse exceptionnelle. Parmi les autres activités « associatives », je rappelle que les PUS nous ont donné l’occasion d’acheter des livres à un euro en janvier 2011, et qu’un grand nombre d’entre nous a profité de cette offre. Patricia m’a aidée à faire les colis. L’année 2011 correspondait au 15e anniversaire de la fondation de notre association ; nous avons jugé utile de procéder à un toilettage de nos statuts, peu adaptés à la taille, modeste, de notre équipe. C’est Alain Trouvé, notre vice-président, qui a accepté de mener à bien ce chantier fastidieux et pourtant indispensable. À l’heure où l’Université tout entière et ses chercheurs en particulier sont soumis à la pression de la rentabilité, de la concurrence inter-individuelle, et de la course aux certifications diverses, une équipe comme la nôtre reste un luxe indispensable : elle permet à des sensibilités et des recherches diverses de s’exprimer en toute liberté et selon un calendrier modulable. Les jeunes chercheurs ont pu présenter leurs travaux sans s’obliger à les plier aux impératifs d’un thème imposé ; nous avons pu profiter, aux premières loges, du coup de théâtre de la publication des lettres d’Aragon à Breton. Notre site Internet n’a pas encore totalement accompli sa mue, mais des travaux de fond s’y sont déroulés. Après des démarches du côté de l’Université de Strasbourg pour changer de serveur, nous avons finalement décidé de rester chez Robert Alessi, notre hébergeur « historique » bénévole, dont le dévouement s’est manifesté à maints égards, cette année encore par sa disponibilité téléphonique à mon égard et la formation qu’il m’a ainsi gracieusement dispensée, à un moment où son serveur a dû déménager physiquement de Poitiers à Paris (ce qui a représenté pour lui un gros travail informatique).
Robert Alessi a réalisé pour nous un « site virtuel », ce qui permet à chacune des pages de notre site, pour la première fois depuis sa création, d’avoir une adresse URL correcte qu’on puisse citer dans une référence bibliographique. C’est fondamental pour un site qui propose des articles en ligne.
Le deuxième changement a consisté à changer de nom de domaine, quitter le .com trop connoté du côté de la transaction commerciale pour un .org plus adapté au contenu et à la démarche de notre équipe. Nous avons aussi quitté l’organisme (le « registrar ») qui garantissait notre nom de domaine (Nordnet, filiale d’Orange) pour un autre plus de 10 fois moins cher (Gandi). Ces travaux de fond ont été aussi l’occasion de rapatrier des articles situés sur la toute première version du site (d’avant 2005), laquelle a ensuite été effacée.
Dans un souci de « clarification » selon ses termes, Luc Vigier a souhaité ne plus assurer la fonction de webmestre accomplie avec constance et enthousiasme durant plusieurs années. Il a demandé que son nom soit retiré de la première page du site. Il serait bénéfique que la gestion du site repose sur un collectif plutôt que sur une seule personne (actuellement la présidente). La rénovation du site par une équipe de stagiaires de l’École de management en art graphique des Gobelins, si elle doit être menée en 2012 comme nous l’espérons, suscitera peut-être d’autres vocations parmi nous. Ce projet a donné lieu, en décembre 2011, à l’écriture d’un cahier des charges auquel ont contribué Patricia, Marianne et Erwan et que j’ai finalisé. Il en sera question dans les délibérations de notre AG. Sur le plan du contenu, j’ai mis en ligne 40 « billets » en 2011 : certains se trouvaient simplement sur l’ancien site (d’avant 2005). La simplification et la diffusion du savoir technologique rendent aujourd’hui aisées des opérations autrefois compliquées, comme la réalisation de fichiers pdf. Une page de garde présente désormais tous les nouveaux fichiers pdf mis en ligne et permet un référencement correct et facile.
Reynald Lahanque a refait trois fichiers pdf de sa thèse : ils sont venus remplacer la soixantaine de fichiers texte (.doc) que j’avais mis en ligne de manière sérieuse, mais pour un résultat anarchique, en juin 2010. La mise en ligne des thèses non publiées sur papier est une entreprise de longue haleine qui commence à peine et mérite d’être développée : Marie-Christine Mourier nous a ainsi confié sa thèse soutenue en 2003 ainsi que son discours de soutenance. Sa thèse, intitulée Des obsessions à l’incantation, Aragon créateur (réalisée sous la direction de Jean-Pierre Giusto et Stéphane Hirschi, présentée à l’Université de Valenciennes et du Hainaut Cambrésis, 2003) est désormais en ligne. Dans la foulée, Marie-Christine nous a proposé un article consacré aux didascalies dans Elsa et publié en juillet 2011 sur le site. Mireille Hilsum, contactée par mes soins, se montre également favorable au projet de mise en ligne de sa thèse.
On signalera la mise en ligne, réalisée par Hervé Bismuth d’un livre épuisé sur Les Voyageurs de l’Impériale aux Éditions du Temps (ouvrage co-signé par Hervé, Luc et moi-même en 2002), un des rares – sinon le seul ouvrage publié dont tous les auteurs se réclamaient d’ÉRITA.
J’ai pu aussi mettre en ligne le mémoire de master d’une de mes étudiantes, Anne-Catherine Baechtel, sur la musique dans Aurélien, La Mise à mort et Les Voyageurs de l’impériale, après qu’elle y a reporté les corrections souhaitées. Roselyne Waller avait participé au jury de cette soutenance en 2010, et au travail de relecture et de correction.
Marianne Delranc a fait mettre sur le site la version longue d’un article publié dans la revue Europe n° 979-980 (novembre-décembre 2010) et qu’elle nous avait présentée le 15 mars 2008 : « Elsa Triolet dans la Résistance, l’écriture et la vie ».
Enfin, récemment, Georges Aillaud a proposé un inventaire bibliographique des références au théâtre dans l’œuvre d’Aragon (Georges Aillaud, « Le roman du théâtre d’Aragon », 14 novembre 2011). La relecture et la mise en page ont été assurées par Lionel Follet.
Je signale aussi que je collecte les articles concernant la réception du livre de Lionel Follet dans une page dédiée.
Ces nouvelles mises en ligne montrent l’importance du travail collectif, puisqu’il est fondamental de ne publier que des textes relus et soigneusement corrigés. Les Recherches croisées numéro 13, dont le copyright est de décembre 2011, doivent voir le jour aux Presses Universitaires de Strasbourg incessamment le jeudi 26 janvier. Les PUS nous offrent une fois de plus une publication cousue dans les règles du meilleur art éditorial. Le volume a bénéficié des contributions de plusieurs d’entre nous, mais a également accueilli les travaux de jeunes chercheurs et une correspondance inédite : les lettres d’Aragon au poète Henri Droguet que nous avons rencontré en 2010.
Sa constitution a été l’occasion d’un débat, par e-mail, sur les problèmes relatifs à la publication en ligne et sur papier. Nous sommes alors convenus que les articles publiés en ligne ne devaient pas l’être simultanément sur papier (la publication en ligne grevant la vente des exemplaires papier), qu’une seule « source » de publication, bien identifiable, était souhaitable pour chaque article. Ainsi les articles parus en ligne sur le site de l’ITEM comme sur le site de l’ÉRITA ont-ils, sauf exception, pour vocation à le rester. Il est d’ailleurs hautement probable que notre revue devienne à terme une revue en ligne, étant donné la restructuration des anciennes PUS dans une nouvelle « fondation » de l’Université de Strasbourg, au fonctionnement et à la direction mal définis.
En ce qui concerne la mise en ligne des anciens volumes des RCAET, les deux options envisagées (publication par Persée, publication par notre site) se heurtent toutes deux à un flou juridique (en l’absence de contrat signé avec notre ancien éditeur bisontin) et surtout à l’hostilité de celui-ci. Il a en effet signé un contrat avec Google books qui a mis en ligne, dans une version tronquée, les ouvrages publiés par nous (ou par des membres de notre Équipe), sans d’ailleurs informer qui que ce soit de cette opération (découverte par hasard).
Ce chantier doit être poursuivi, le principal étant que nos anciennes publications soient disponibles en ligne aisément, sur une plate-forme ou une autre, mais dans leur intégralité. Concernant nos autres activités, il faut évidemment signaler la participation de plusieurs d’entre nous au séminaire organisé par l’ITEM.
On mentionnera les cours sur Aragon dispensés à l’Université de Strasbourg : Roselyne Waller a assuré un cours de 1ère année « Le Roman inachevé et Le Mentir-vrai d’Aragon : détours poétiques et romanesques de l’écriture de soi ». Et moi-même un cours sur La Semaine sainte. À Nancy, Reynald Lahanque a assuré son (dernier) cours sur Le Roman inachevé.
Le livre coordonné par Cécile Narjoux La Langue d’Aragon « Une constellation de mots » (sous la dir. de Cécile Narjoux, 2011) a reçu la contribution de Bernard Leuilliot (sur le présent dans Les Communistes), Corinne Grenouillet (sur la langue populaire et familière) Patricia Principalli (sur le picard), de Suzanne Ravis-Françon (sur le futur dans Le Fou d’Elsa), de Maryse Vassevière (sur métalangage et métalepse). Avant de faire état des articles publiés par les membres de notre association et qui n’auraient pas été évoqués jusque là (dans l’ordre alphabétique[[Je m’appuie sur les réponses données par les uns et les autres à mes mails de décembre 2011 et janvier 2012.]]), je signalerai la soutenance d’une HDR, celle de Béatrice N’guessan Larroux, collègue qui a rejoint notre équipe cette année.
Soutenu le 16 décembre 2011, sur le sujet : « l’espace dans le roman contemporain », dirigé par Gérard Langlade, à l’Université de Toulouse, son mémoire alliait sous la catégorie de l’espace une thèse et un livre sur Aragon d’une part (Aragon au miroir, essai sur Le Roman inachevé), les littératures francophones afro-antillaises, d’autre part. Qu’elle soit ici félicitée pour cet aboutissement. Un membre de notre équipe a participé à ce jury : Alain Trouvé. Passons maintenant aux travaux des uns et des autres.
Outre le partage de visu de ses trésors bibliophiliques, Georges Aillaud a publié quelques articles dans Faites entrer l’infini : un sur le lieu de naissance d’Aragon (N° 50), plusieurs dans le N° 51 : « Les éditions de 1942 et 1947 des Voyageurs de l’impériale : une entreprise diabolique » (succédant à l’article de Michel Apel-Muller du N° 1 des Recherches croisées), la présentation de Aux enfants rouges. Eclairez votre religion avec sa réimpression complète (avec les dessins), celle d’une lettre manuscrite d’Aragon à Jean-Pierre Cerquant (datant de la même époque, et sur le même sujet anticlérical). Édouard Béguin a participé au colloque sur Les Lettres françaises avec une communication sur « La Valse aux adieux » Marie-France Boireau a participé à la journée des jeunes chercheurs du 21 janvier et publie un article dans les Recherches croisées n° 13. Erwan Caulet qui a fait deux interventions sur Les Lettres françaises en janvier et en juin, se déclare « en guerre contre sa thèse ». Nul ne doute qu’il n’en sorte bientôt victorieux. Marianne Delranc-Gaudric a contribué au dernier Recherches croisées par un article sur la « constellation poétique » formée par Elsa Triolet, Lili Brik, Jakobson, Maïakovski et d’autres et par la présentation d’une lettre que lui envoya Aragon en 1969.
Elle a participé au colloque sur Les Lettres françaises avec une communication sur les articles d’Elsa Triolet dans Les Lettres françaises. De mon côté, j’ai coordonné le RCAET n° 13, où paraît un article sur les soldats africains et la question coloniale. J’ai participé au colloque sur Les Lettres françaises avec une communication sur le numéro spécial étudiants de 1968, contribué pour un article au livre dirigé par Cécile Narjoux et participé au jury de soutenance de la thèse de Peter Mac Niece, soutenue à l’Université de Sydney, en juin 2011 (Peter MacNiece, La Trajectoire littéraire et politique de Louis Aragon : du Monde réel à La Semaine sainte, mars 2011). Josette Lefaure-Pintueles, qui a participé à la table ronde des jeunes chercheurs au Moulin en juin (colloque Les Lettres françaises), est aussi intervenue dans le colloque « L’ombre dans l’œuvre » à propos d’Aragon et de L’Œuvre poétique. Voir : http://www.fabula.org/actualites/l-ombre-dans-l-oeuvre-la-critique-dans-l-oeuvre-litteraire-colloque-international_48055.php
Elle met la dernière main à sa thèse et a aussi contribué au dernier RCAET.
Claudine Monteil a publié un nouvel essai, Simone de Beauvoir et les femmes aujourd’hui, aux éditions Odile Jacob (septembre 2011) qui consacre trois pages à Elsa Triolet, auteur qu’elle mentionne d’ailleurs sur le blog de son nouveau site web : www.claudinemonteil.moonfruit.fr Julie Morisson, qui a participé à la table ronde des jeunes chercheurs au Moulin en juin a écrit un article pour RCAET n° 13, sur Aragon critique d’art dans les années 1950. Deux articles d’Aurore Peyroles publiés en 2011 concernent Aragon (en plus de celui publié dans RCAET n° 13) :
– « Écrire pour convaincre : USA de Dos Passos, Les Communistes d’Aragon » (tiré de son mémoire de M2), paru dans la Revue de littérature comparée 2/2011.
– « Les Communistes d’Aragon ou l’invention du roman à thèse lisible », actes du colloque Roman et politique, Presses universitaires de Rennes, 2011. Alain Trouvé a publié en mars 2011 : La Lecture littéraire, n° 11 (dir.) : « La non-lecture », 221 pages, qui contient un article de Rébecca Ferreboeuf (University of Leeds) : « Le canon littéraire de l’entre-deux-guerres et les femmes-écrivains : le cas de Bonsoir Thérèse d’Elsa Triolet ».
En octobre 2011, il a publié « Aragon et Ponge lecteurs de Lautréamont », sur le site de l’ITEM :http://louis_aragon_item.eklablog.com/alain-trouve-aragon-ponge-lautreamont-item-2010-a7098810
Par ailleurs, il a présenté le 10 mars 2011, à la Bibliothèque Carnegie de Reims l’enregistrement « Aragon lisant Le Fou d’Elsa » réalisé par Joël Aubert, libraire au Quartier latin en 1963.
Et il a participé au jury de soutenance de B. N’guessan Larroux. Signalons aussi qu’il est désormais le directeur de thèse de Jean-François Bonfils, qui devrait rejoindre notre équipe. En plus d’un article sur « Aragon, Breton et la peinture soviétique » et d’une traduction d’une interview d’Aragon à la revue communiste italienne Rinascita en février 1968 parus dans Recherches croisées Aragon Elsa Triolet n° 13, Maryse Vassevière publie trois articles sur papier :
1. « Correspondance Baron-Aragon » avec un inédit de Baron dans la Revue Mélusine n° XXXI, 2011
2. « Aragon et la lumière de Colette » dans les Cahiers Colette n° 32, Société des amis de Colette, 2011.
3. « Aragon et la construction d’une image romanesque de la France » dans La France des écrivains. Éclats d’un mythe (1945-2005), Marie-Odile André, Marc Dambre, Michel.-P. Schmitt (Éds), Presses de la Sorbonne Nouvelle, 2011.
Elle publie aussi deux articles en ligne :
4. « Portraits et anti-portrait dans Anicet » (site Mélusine).
5. « Approche génétique de la théorie des incipit » (site Aragon de l’ITEM). Luc Vigier a organisé le séminaire de l’ITEM ; il a constitué un blog Aragon, pour l’ITEM, indépendant du site de l’ÉRITA et a réalisé 3 communications en plus de celle de mars :
– « Génétique du mur » (sur les murs de l’appartement de la rue de Varenne), mai 2011, ITEM.
– Communication lors de la journée d’études Lettres françaises sur « Les Lettres françaises de Jean Ristat », juin 2011.
– Communication Item sur « Les murs d’Aragon dans la perspective des travaux d’Aby Warburg et d’André Malraux (iconologie) », décembre 2011. Il semble donc que les membres de l’ÉRITA trouvent dans la structure qui est la nôtre (toujours susceptible d’évoluer, de s’adapter) un cadre favorable à l’expression de leurs recherches personnelles. La longueur de ce rapport, dont je vous prie de m’excuser et que je vous invite à amender, est la contrepartie du dynamisme de la recherche aragonienne et triolettienne en 2011. Corinne Grenouillet, présidente de l’ÉRITA